Quasimodo n’a plus de toit, il pleure sa superbe cathédrale Notre Dame de Paris. Son coeur souffre comme chacun d'entre nous.
Édifice à la fois religieux et patrimonial, la cathédrale est liée à de nombreux épisodes de l’Histoire de France. Commencée sous l'impulsion de l'évêque Maurice de SULLY, sa construction s'étend sur plus de deux siècles, de 1163 au milieu du 13e siècle.
Église paroissiale royale au Moyen-Age, elle accueille l’arrivée de la Sainte Couronne en 1239, puis le sacre de Napoléon Ier en 1804, le mariage de Napoléon III en 1853 et les funérailles de plusieurs présidents de la IIIè République (A. THIERS, Sadi CARNOT, Paul DOUMER). C'est sous ses voûtes qu'est chanté un Magnificat lors de la libération de Paris en 1944. Des cérémonies y ont lieu à la mort des présidents Charles de GAULLE (1970), G. POMPIDOU () et F MITTERAND ().
La cathédrale bénéficie de 1844 à 1864 d'une importante restauration, parfois controversée, sous la direction de l’architecte VIOLLET-le-DUC, qui y incorpore des éléments et des motifs inédits. Le modèle dont il va s’inspirer pour faire la flèche est la cathédrale d’Orléans.
Les deux rosaces, qui ornent chacune les bras du transept, sont parmi les plus grandes d’Europe. Les vitraux racontent l'Histoire de notre France au travers de dessins de la vie d'alors.
La cathédrale a inspiré de nombreuses œuvres, notamment le roman de Victor HUGO intitulé Notre Dame de Paris traduit en comédie musicale par Cocciante et Plamondon.
Ce , un violent incendie a détruit la quasi-totalité de la toiture de la nef, du choeur et du transept, ainsi que la flèche de la cathédrale sous le regard incrédule des parisiens et des visiteurs. Notre Dame a tenu 856 ans.......
Beaucoup d’émotion ressentie en France et à l’étranger.
Une Conférence de Pierre DUMONT aura lieu à la Maison de la Beauce à Orgères-en-Beauce le 31 mars 2019 à 15h00 :
Madeleine PAULIAC (1912-1946), médecin lieutenant de la première armée, une héroïne oubliée.
Madeleine est une femme médecin et une résistante française. Au début de la Seconde Guerre mondiale, elle est chargée du ravitaillement des maquis et elle apporte son concours à des parachutistes alliés.
En 1944, elle participe à la libération de Paris, puis part pour Moscou. Elle y est nommée médecin-chef de l’hôpital français de Varsovie, alors en ruines. Madeleine va accomplir dans toute la Pologne et parfois en Union soviétique, plus de 200 missions avec l’Escadron bleu, unité de 11 conductrices-ambulancières volontaires de la Croix Rouge, pour rechercher, soigner et rapatrier les Français restés en Pologne.
En ce jour de Sainte Bernadette, le dicton nous prédit "Souvent le soleil est là", alors pourquoi ne pas venir nous retrouver pour vos recherches à notre permanence
ce lundi 18 février 2019 de 13h30 à 18h00
au 27bis rue Jean Chauveau à CLOYES-sur-Le-LOIR
Venez partager et échanger avec les adhérents :
Nous serons également joignables au : 02 37 47 99 63 si besoin.
Depuis le 1er janvier 2019, JANVILLE-en-BEAUCE est une commune nouvelle issue du regroupement des 3 communes : Allaines-Mervilliers, Janville et le Puiset.
Ce parisien est d’abord employé dans la brasserie familiale, il court en amateur sur son temps libre. En passant professionnel, il collectionne les succès entre 1908 et 1914. Rouleur et sprinter, il est médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Londres en 1908. Dans la foulée de sa deuxième victoire sur Paris-Roubaix, il remporte la Grande Boucle en 1910.
Dès la déclaration de la guerre, il est réformé pour cause de surdité à une oreille, ce qui ne l’empêche pas de s’engager au service automobile du 19e Escadron du Train. Sa passion pour l’aviation lui vaut de changer de cap pour devenir moniteur au Centre d’aviation militaire d’Avord. Sa persévérance paie et il devient lui-même pilote au sein de l’escadrille N504 basée à Bar-le-Duc pour finir dans la N90 de Toul sous les ordres du lieutenant WEISS.
Il meurt à l’hôpital de Troyes le 14 juillet 1917, son avion étant abattu par deux biplans allemands dans le ciel de Flirey (Meurthe-et-Moselle).
Né français de mère et luxembourgeois de père, François FABERT exerce d’abord différents emplois, sans grande conviction. Monté pour la première fois sur une bicyclette à l’âge de 17 ans, c’est le déclic et le début d’une prometteuse série de victoires en tant que cycliste « indépendant ».
Devenu professionnel début 1907, il remporte le Tour de France 1909 ainsi que d’autres courses majeures dont celui de Lombardie ainsi que Paris-Roubaix.
Au début du conflit, sa double nationalité l’autorise à rejoindre la Légion étrangère. Ses classes terminées, il part au front en octobre 1914 avec le 2e Régiment de Marche du 1er Bataillon étranger. Ses actions sur le terrain lui valent d’être nommé caporal. Il prend ensuite part aux offensives dans le Pas-de-Calais et à la bataille de l’Artois C’est lors de ces combats qu’il trouve la mort le 10 mai 1915, au Mont-Saint-Eloi ou à Carency.
Faute de pouvoir retrouver sa dépouille il est officiellement déclaré « tué à l’ennemi ».
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Bonjour à vous tous ! Vous êtes sur notre site de généalogie de Cloyes. Nous vous souhaitons une bonne visite et à très vite pour d'autres nouvelles.