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Exposition du 19 février au 2 avril à la Maison de la Beauce à Orgères-en-Beauce :

«Aux origines du Loiret. De la préhistoire à l’A19»

   De 2005 à 2007, sur les 101 km de l’autoroute A19 reliant Artenay à Courtenay, plus de 120 sites archéologiques datés de la Préhistoire au Moyen Âge ont été identifiés, trente des plus importants ont fait l’objet de fouilles.

   Nécropoles, habitats, objets archéologiques, restes d’animaux et végétaux sont étudiés. L’ampleur de ces travaux contribue aujourd'hui au renouvellement de la connaissance historique de ces terroirs de Beauce et du Gâtinais.

   Cette exposition est accompagnée de maquettes illustrant l’habitation à travers cinq époques. 

Entrée libre.

La Maison de la Beauce à Orgères est ouverte du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h, dimanche de 14h30 à 18h30.

www.lamaisondelabeauce.com

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On apprend ce vendredi le décès de monsieur Jacques COULON, époux de notre ancienne Secrétaire Co-fondatrice de la Société d'Histoire et de Généalogie décédée début 2016. Il a beaucoup aidé sa femme lors des expositions, les manifestations de Cloyes et dans ses recherches à son domicile. Quelques adhérents se souviennent certainement de lui et de sa disponibilité.

Ses obsèques auront lieu le jeudi 9 février à 14h00 Eglise Saint-Georges de Cloyes-sur-le-Loir.

Le bureau de la SHG présente à sa famille ses sincères condoléances.

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Samedi 14 janvier à 14h30 à la Maison du Saumon à Chartres :

Conférence : Les femmes et la guerre par Chérif Zananiri, écrivain.

"Pour moi, cette belle tranche histoire a commencé par une rencontre avec une arrière tante décédée et qui avait caché sa vie durant, qu’elle était marraine de guerre. Elle considérait sans doute, qu’enfants, nous n’étions pas en mesure de comprendre son action.
De là, je me suis intéressé, par le biais de l’écriture d’une série de romans, aux femmes pendant la Grande Guerre.
C’est en effet à ce moment crucial de notre histoire que le rôle des femmes et leur place dans la société ont été mis en exergue. On a compris alors qu’elles n’étaient pas que des objets de plaisir ou des mères, mais également des citoyennes à part entière, capables de prendre des décisions, des chefs de famille, des patronnes, des bras qui soutenaient."

Réservation conseillée au 02 37 18 26 26.

Tarif : 8,50 €. Enfant de 6 à 12 ans : 4,25 €.

Source : Intensité

Les voeux

     La tradition d’envoyer ses souhaits à l’occasion de la nouvelle année sur une carte de vœux est une pratique née en Angleterre. Tout commence en Grande-Bretagne en 1840 avec l’apparition du 1^er timbre-poste qui facilite grandement l’échange de courriers dont l’envoi des cartes de Noël, cartes en couleurs décorées de gui, de houx, de crèches ou encore de sapins enneigés. La coutume anglaise se répand dans toute l’Europe, et il devient de bon ton en France d’envoyer une « carte de Noël ». Elle se transforme progressivement en une carte de vœux pour souhaiter la nouvelle année.

     Il existait en France une coutume ancestrale aujourd’hui oubliée et dont ne subsiste que la tradition des étrennes : les visites du nouvel an. De façon tout à fait rituelle et formalisée, on rendait visite, dans les quinze jours qui suivaient le 1er janvier, à son entourage proche, famille et amis, mais aussi à ses collègues de travail, à son patron, même à des familles pauvres ou des malades dont on avait à cœur d’embellir ces jours festifs par des dons et des marques d’amitié. On profitait en effet du prétexte des vœux à souhaiter pour renouer des amitiés distendues ou se rappeler au bon souvenir de connaissances éloignées géographiquement. Vers les années 30, l’usage des visites se perd et la carte de vœux se répand massivement.

    Aujourd’hui les cartes de vœux « physiques » sont évidemment remises en question par les outils digitaux (e-card, mails, sms, post Facebook), elles ont perdu de leur aspect exceptionnel et émotionnel. Entre recevoir une jolie carte dans sa boite aux lettres accompagnée d’un beau message d’amitié écrit spécifiquement pour vous de la main de l’expéditeur et recevoir un banal mail, on ne perçoit plus l’intention, l’émotion et la perception de l’envoyeur à l’envoyé.

relevé sur Internet