Pourquoi décore-t-on un sapin à Noël ?
Le sapin de Noël est une tradition qui puise ses racines dans l'Antiquité. Les Romains décorent l'intérieur de leurs maisons avec des branchages qui restent verts même en hiver car ils symbolisent la vie.
Le sapin comme nous le connaissons aujourd'hui fut introduit beaucoup plus tard. La plus ancienne trace écrite de vente de cet arbre à Noël a été retrouvée à Salestat, en Alsace, et date de 1521. Il semblerait que la coutume se soit répandue en particulier chez les protestants, sans doute pour se distinguer des crèches installées par les catholiques.
En France, le premier sapin de Noël décoré fut celui de Versailles, en 1738, voulu par l'épouse de Louis XV, Marie LESZCZYNSKA. À Paris, le premier sera érigé en 1837. Ce n'est qu'à partir des années 1960 que le phénomène prendra de l'ampleur, s'installant dans presque toutes les maisons d'Occident.
Le sapin de Noël symbolise traditionnellement l'arbre de la vie, l'arbre du Paradis. Les chrétiens ont donc pris soin d'accrocher aux branches des pommes, qui deviendront plus tard les très décoratives boules de Noël.
Anyk
Le solstice n’est pas une journée mais un moment précis qui a donc eu lieu ce mardi 21 décembre 2016 tôt dans la matinée. Cet instant correspond à l’inclinaison maximale de la Terre par rapport au Soleil. Les rayons viennent taper l’hémisphère sud, qui est alors en plein été, tandis l’hémisphère se contente de quelques heures de lumière. Au pôle Nord, il fait quasiment tout le temps nuit tandis qu’au pôle Sud, le soleil ne se couche presque pas.
La saison d’hiver est officiellement donnée en ce 21 décembre 2016 qui marque le solstice d’hiver, soit le jour de l’année avec le plus faible nombre d’heures de soleil et où la durée du jour est la plus courte de l'année, à l'inverse de la nuit qui est la plus longue. Les jours vont commencer à rallonger pour nous amener petit à petit vers le printemps. L'hiver n'est donc pas si déprimant puisque, chaque jour qui passe dans cette saison, nous gagnons des heures de luminosité ! Toutefois, même si les jours rallongent, les océans, qui régulent les températures sur les terres, ont besoin d’une grande quantité d’énergie du Soleil pour se réchauffer.
Si Noël est le 25 décembre, ce n'est pas un hasard : la date de la « naissance du Christ » coïncide avec celles de fêtes païennes antérieures au christianisme qui célébraient la « naissance du jour ».
extrait de Futura-Sciences
.
à son local au 27bis rue Jean Chauveau
à Cloyes-sur-le-Loir
La Société d'Histoire et de Généalogie de Cloyes et du Pays Dunois sera heureuse de vous accueillir pour sa dernière permanence de ce semestre.
L'équipe du bureau sera à votre disposition pour vous aider dans vos recherches, répondre à vos questions et partager un moment riche en convivialité.
Nous serons joignables éventuellement au :
02 37 47 99 63, en cas de besoin
également geneacloy@orange.fr.
A samedi prochain.
Vous êtes peut-être passé un soir de décembre sur la route venant de Châteaudun et vous avez vu furtivement sur une rue à gauche des petites lumières. Peut-être avez-vous cru à des lucioles ou à une étoile filante ? Si vous avez fait demi-tour et suivi la voie lumineuse, vous êtes tombé comme moi sous le charme d’un jardin extraordinaire qui plaît autant aux petits qu'aux grands au moment de Noël.
Un très grand ours blanc vous accueille adossé à un immense sapin sur lequel, le temps d’une visite, une montgolfière a atterri sous l’étoile du berger ! Une crèche illuminée, un vélo « enfin » éclairé, une roue de fontaine ancienne toute clinquante dans la nuit étoilée, un bonhomme de neige aux habits lumineux, des cerfs majestueux, une gare avec son train prêt à vous emporter faire le tour des guirlandes scintillantes qui clôturent la cour et à vous faire découvrir la caverne abritant l'oursonne et ses petits. Des rampes pleurent des lumières blanches et bleues, une statue en robe du soir s’émerveille devant le Père Noël et son traineau qui clignotent dans la nuit, un lampadaire emmitouflé surveille une balançoire et ses nains multicolores, tous plus brillants, plus merveilleux les uns que les autres……
Un Père Noël très accueillant nous attend à la porte, il s’appelle Dédé ! Le voilà qui nous raconte son plaisir à réaliser chaque année ce tour de magie d’émouvoir les passants en leur présentant son rêve d’enfant. Il vous explique qu'il a besoin d’un mois pour installer son décor et d’un autre pour le remiser. Chaque année, il met, tel un peintre, une nouvelle touche à ses tableaux, il rajoute des lutins à droite, il fabrique de faux sapins illuminés plus loin… On en a plein les yeux, on retrouve son âme d’enfant avec « des Ah, des Oh » et la rue ne désemplit pas… Que de paires d’yeux écarquillés, que de questions posées, il faut poursuivre son chemin en passant de la lumière au noir, du rêve à la réalité. Le moment féérique est passé……
A nous généalogistes, Dédé a ouvert sa porte et devant la cheminée, il nous a offert un bon vin chaud parfumé de cannelle et accompagné d’une petite douceur de la Mère Ginette. On lui a demandé quels étaient les ancêtres du Père Noël, s’ils exerçaient le même métier que lui, comment c’était autrefois quand la fée électricité n’était pas née…… Il a souri l’air malicieux, a regardé la flamme des bûches qui se consumaient et une bougie à la main, il nous a raccompagnés…
d'Anyk TESSIER - CHASSINE, extrait de la Gazette n° 12.
Photo d'Etiennette MARTIN
.
Le samedi 3 décembre de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h00
à l'école George Sand :
Exposition « d'hier à demain à l'école George Sand ».
.
2 décembre 1805 : NAPOLEON triomphe
au soleil d'Austerlitz
Le 2 décembre 1805, un an jour pour jour après son sacre, l'empereur NAPOLEON 1er remporte à Austerlitz sa victoire la plus éclatante.
En quelques heures, sous un soleil hors saison, il vainc deux autres empereurs, Alexandre 1er, tsar de Russie, et François II de Habsbourg-Lorraine, empereur d'Autriche et titulaire du Saint Empire romain germanique (ou empereur d'Allemagne). Austerlitz est appelée pour cela bataille des Trois empereurs. NAPOLEON 1er est en partie redevable de son triomphe à la chance et à un brouillard matinal qui a caché ses mouvements à l'ennemi.
Au milieu de l'année 1805, une troisième coalition se forme contre la France. « Ne pouvant frapper la tête de la coalition, l'Angleterre, Napoléon en frappera le bras, l'Autriche » (Jean Tulard, Les révolutions).
Le 3 septembre, renonçant à traverser la Manche, l'empereur entraîne à grandes enjambées la « Grande Armée » à la rencontre des armées austro-russes.
NAPOLEON 1er vainc les Autrichiens à Ulm, en Bavière, le 20 octobre. Puis il entre triomphalement à Vienne le 14 novembre (c'est la première fois de son Histoire que la capitale des Habsbourg doit s'incliner devant un conquérant). Pendant ce temps, le général russe Koutouzov se replie au-delà du Danube. Le 26 décembre, l'Autriche conclut la paix à Presbourg (aujourd'hui Bratislava, en Slovaquie). C'est la fin de la troisième coalition.
50 drapeaux enlevés à l'ennemi vont orner la voûte de l'église Saint-Louis des Invalides. Le bronze des 180 canons ennemis est employé pour fondre la colonne Vendôme, à Paris (il s'agit d'une copie de l'antique colonne Trajane qui célèbre à Rome la victoire de l'empereur romain sur les Daces).
.
A très bientôt pour partager un moment riche de convivialité.
.
Marie-France Saliège et Michel Brice vous donnent rendez-vous le dimanche 27 novembre à 15h à la Maison de la Beauce d'Orgères en Beauce pour une conférence à double voix.
Grâce aux recherches qu’ils ont effectuées, vous pourrez découvrir l’histoire d’Octave Delaluque, soldat beauceron. Natif d’Intréville, en Eure-et-Loir, Octave fut mobilisé, comme ses trois frères, le 2 août 1914. En 1916, il intégra le 415ème régiment d’infanterie où il resta jusqu’à la fin de la guerre et s’illustra en sonnant le cessez-le-feu le dernier jour.
Cette conférence sera également l’occasion de parler du monde paysan durant la première guerre mondiale, des hommes aux fronts et du courage des femmes à l’arrière.
La conférence se terminera par une séance de dédicace.
Entrée à la conférence : 2 €
.